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Le domaine de Lescombes faite ses 20 ans en présentant une rétrospective des oeuvres d’Alain Alquier .
En 1995, le centre d’art contemporain d’Eysines accueillait la première exposition.
Au fil des ans, Lescombes allait proposer la mise en lumière d’artistes majeurs de la peinture contemporaine comme de figures régionales parfois méconnues.
Il s’est ingéniait ainsi à épouser un large panorama de la création contemporaine…
Alquier dit:
« le peu est suffisant.
Dans une peinture, moins il est dit, plus on y voit »
À l’origine, Alain Alquier est photographe et peintre.
Ses premiers clichés, il les expose en 1964.
Six ans plus tard, il exposera ses premières toiles.
Au grès du parcours de cette rétrospective s’impose un univers plastique qui célèbre l’épure.
Diplomé des Beaux Arts de Toulouse, figuratifs à ses débuts, cet artiste né à Tarbes, en 1947, va très vite se tourner vers l’abstraction.
Simples, dépouillées, intitulées « Romanes». Une palette de couleurs réduite où irradient des verticales bleues … des réminiscences d’églises romanes ou d’abbayes cisterciennes.
La verticalité se fera plus tard, moins élancée, moins directe, plus tortueuse... à la faveur de « Bois de vie», une série, qui a une assez grande place au sein de l’expo…
Ci-dessous quelques photos suite à la visite de l’expo, où je dois le dire les avis étaient pour le moins partagés…
Mais, en soit cela est très bien, voire intéressant !
Photos de : Florence Mayer (sauf celle du peintre)